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Messages

Affichage des messages du janvier, 2011

Dégage, RPP. Dégage, IOG.

Rumeurs à Ottawa. Ah! Les rumeurs... Non content de la tournure des événements lors de la dernière soirée de soutien au 3ème mandat illégal du dictateur djiboutien, Ismaël Omar Guelleh, tenue le 8 janvier dernier à l'hôtel Chimo d'ottawa, certains individus planifieraient dans l'ombre d'autres soirées de soutien d'ici les élections d'avril 2011. Les raisons invoquées? "Cette soirée était celle des Gadabourcis!" Selon les rumeurs, certains mamassans comptent en organiser une plus de plus grandiose. Certains issaks pour leur part, seraient en train de préparer "une soirée qui sera gravée dans toutes les mémoires pour longtemps". Et cela inspirera sûrement d'autres groupuscules de la nébuleuse RPP. Comme d'habitude, une poignée de guignols salit beaucoup de monde. Que les Gadas, les mamassans, les issaks et tous les autres djiboutiens qui n'ont rien à se reprocher me pardonnent (je sais, il en existe beaucoup). Ce ne sont que des rum

Oui pour le souvenir!

Le 18 décembre 2011, malgré le froid ottavien (-15 malgré le soleil) une centaine de personnes dont des femmes et des enfants se sont retrouvées devant la flamme du centenaire de la Colline du Parlement du Canada pour commémorer le 19ème anniversaire du massacre de civils, dans le quartier d’Arhiba, à Djibouti. À titre de rappel, le 18 décembre 1991, les forces armées et la police ont tiré sans sommation sur les habitants de ce quartier. La plus grande tuerie de l'histoire de Djibouti était perpétrée par le gouvernement de Hassan Gouled. Ce massacre sans précédant a été perpétré non pas dans un coin reculé du pays, mais, en pleine capitale, au vu et au su de tous. Ce massacre sans précédant a été perpétré non pas par les forces d'occupation de quelque puissance coloniale ou étrangère mais par ceux-là mêmes qui étaient supposés mener leur population vers le progrès et le développement économique, une fois la souveraineté acquise. Le bilan de cette tuerie relevait du jamais vu: