Article originellement publié dans Facebook sous une forme abrégé le 2 Sept 2021 Avec ce qui se passe en Afrique de l'est et notamment dans notre sous-région, les émotions sont en crue et les esprits s'échauffent. Normal et humain (jusque là). Dans les réseaux sociaux, des individus de tout profil s'érigent en censeurs, en analystes, en devins, en docteurs et seuls détenteurs de la solution miracle. C'est leur droit le plus absolu. Nous avons tous "voix au chapitre" et c’est important que tout le monde s’exprime. Jusque là, pas de problème, au contraire. Mais, car il y a mais, les réseaux sociaux sociaux charrient de véritables torrents d'une merde qui a, de très loin, dépassé toutes les limites du tolérable, depuis longtemps. On insultes des individus, des groupes, des ethnies, des activistes… Certains vomissent leur haine sans retenue et sans égard pour autrui. Ne dit-on pas que la liberté de soi s’arrête là où commence celle d’autrui? Non...
"Waxay sartay saawirtii kuwii soofaha marsaday" C.Askari (la vieille lame a fait saigner ceux qui l'ont affuté).