Article originellement publié dans Facebook sous une forme abrégé le 2 aout 21
Ce qui se passe dans les quartiers défavorisés de Djibouti commence à prendre des proportions pour le moins alarmantes. Encore une fois, des laissés-pour-compte veulent en découdre avec d'autres laissés-pour-compte. Des jeunes chômeurs s'en prennent à d'autres jeunes chômeurs. On s'en prend à son voisin dans la misère parce qu'il est simplement afar ou issa. Des deux côtés, il y a eu des morts et des blessés...
Et encore une fois, dans les quatiers hupés, il n'y a pas ce problème. Tandis que vos enfants sont incités à se battre, jusqu'à la mort, ceux de nos réignants dorment sur leur deux oreilles. Ils sont à l'abri des échauffourées (et du regard des pauvres).
En pareilles circonstances, les basses oeuvres des polices politiques du régimes sont derrière ces évènements tragique. Oui! Sinon, ça aurait touché tous les quartiers... Faut donc pas compter sur le régime.
Alors, selon moi, les leaders pro changement doivent non seulement appeler au calme et de façon sans équivoque... mais, ce n'est pas tout: ils doivent être vus ENSEMBLE dans les quartiers chauds. Le leadership, c'est ça.
J'invite Omar E. Khaire, Cassim Ahmed Dini, Daher Ahmed Farah, Adourahman M. Guelleh, ou tout autre leader de bonne volonté et de bonne foi, de se rendre et, de patrouiller, si nécessaire, sur les différents endroits chauds du pays.
Faites-le, s'il vous plaît. Allez voir les gens. Parlez-leur. Le leadership, c'est ça.
J'invite les jeunes et les moins à ne pas entrer dans la spirale de la haine et de la violence. Au calme, s'il vous plaît.
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