Suite à la chute du dictateur Ben Ali 1er de Tunisie, nous avons ouvert une série intitulée “5 questions à ….” pour interroger la plupart des membres de la classe politique djiboutienne de l'opposition (ceux dont nous avions les coordonnées). Certains nous ont répondu par écrit immédiatement (Ainaché, Ali Coubba, Mahdi Ibrahim A. God). D'autres nous ont répondu en nous faisant savoir qu'ils préféraient une entrevue téléphonique (et nous sommes en train de trouver un arrangement à cause des décalages horaires).
Mais le silence de certains nous laissent perplexes. Ils ont peut être des places déjà réservées (à leur clan) dans le futur système. Nous sommes en droit de penser que, sans doute, ceux-ci ne répondent qu'aux questions de leurs “journalistes” (maison).
Pourquoi ce silence? N'ont-ils rien à dire? Pourtant le moment est grave! Sont-ils à ce point occupés qu'ils n'ont assez de temps pour nous qui ne sommes alignés sur aucun «parti»? Mystère et boule de gomme!
La Tunisie s'est libéré du joug de Ben Ali. Le Yémen est secoué par les bourrasques des vents du changement. Le Sud Soudan a enfin acquis son indépendance après plus de 50 ans de domination. L'Égypte vient de montrer la porte au “Raïs”. La Somalie baigne dans le chaos. L'Éthiopie est en pleine mutation et planifie de phagocyter tous les faibles de la région. Melès Zenawi, le nouveau Négus d'Addis veut s'erriger en gendarme pendant qu'Isaias Afewerki, son cousin de l'Érythrée sombre dans l'ivresse du totalitarisme... Le monde et notre grande région sont en ébullition. Les peuples et le monde exigent le changement! Les djiboutiens exigent le changement et refusent la «révolution de Palais».
Devant le moment historique, qu'ont-ils à dire et que compte faire ceux qui veulent être “calife à la palce du calife” IOG? Se sont-ils perdus dans leurs plans? Sont-ils épuisés par les tractations de coulisses? Nous sommes en droit de savoir!
Mais revenons à IOG, notre mangeocrate impérial. Pendant que ses idoles, ses pairs et ses disciples se débattent, lui, porte le masque de celui qui mène le bateau. Il joue le rôle du gars indispensable... Il joue la force tranquille (comme Moubarak, il y a 3 semaines et Ben Ali quelques autres semianes plus tôt). IOG joue le rôle du gars au dessus de la mêlée.
En fait, il joue le tout pour le tout. Il se cramponne au pouvoir. Il mise sur la fuite en avant. Invariable et égal à lui-même, IOG, le roi des hyènes, n'entend rien laisser derrière lui, espérant sans doute une retraite dorée dans un quelconque paradis pour ex-dicatateur en cavale!
Seulement voilà: le monde change. Le monde a changé. Personne n'est indispensable. Personne n'est inamovible. Personne, de Washington à Pékin en passant par Paris et Bruxelles, ne veut parier sur les les bourriques comme lui! On a tourné le dos au “Raïs”.
Même les Suisse veulent plus de ces milliards versés dans les comptes anonymes. les Baby-doc, les Ben-Ali et consorts de ce monde ont de nouveaux soucis! Sans verser dans la naïveté, il faut quand même voir certaines mutations, en face. Le monde change. Le monde a changé. Nos peuples sont en droit d'espérer... Que dis-je? Ils sont en droit d'exiger. Le monde a changé. Fini le temps des cachettes et les retraites dorées.
Le monde a changé!.. Plus près de nous, ici au Canada, les Trabelsi (belle-famille de Ben Ali, terreurs des terreurs en Tunisie et mangeocrates devant l'Éternel) sont arrivés, pensant s'installer dans «leur» château de Vaudreuil-Dorion, en banlieue de Montréal. Classique! Seulement voilà, les canadiens et les québécois n'en veulent plus de ce genre d'individu. Les seuls alliés de ces fugitifs sont une poignée “d'avocats” de l'industrie de l'immigration. À part ces quelques «individus verveux», il n'y a plus personne pour les entendre ou encore moins... les accueillir.
Pour illustrer ce tableau, et, à titre d'exemple, voici un reportage fait par Normand Lester, journaliste de la Station FM 98.5 (Montréal, Québec, etc.) sur le dossier des dictateurs en cavale fait le 27 janvier dernier.
On vous parlait du dernier passage du sieur Djama Haid aka “Le Beauf”. On vous parlait de ses «affaires». On vous parlait de ses buz au Canada et de ses voyages clandestins. On vous parlait des visites en catimini de nos hyènes gouvernantes, ici, au Canada...
Le Canada qui a accueilli le sorcier de O. Bongo, va-t-il accueillir nos hyènes en cavales? Il semble que nous sommes condamnés à «vivre l'histoire». Voici le reportage de Normand Lester.
Mais le silence de certains nous laissent perplexes. Ils ont peut être des places déjà réservées (à leur clan) dans le futur système. Nous sommes en droit de penser que, sans doute, ceux-ci ne répondent qu'aux questions de leurs “journalistes” (maison).
Pourquoi ce silence? N'ont-ils rien à dire? Pourtant le moment est grave! Sont-ils à ce point occupés qu'ils n'ont assez de temps pour nous qui ne sommes alignés sur aucun «parti»? Mystère et boule de gomme!
La Tunisie s'est libéré du joug de Ben Ali. Le Yémen est secoué par les bourrasques des vents du changement. Le Sud Soudan a enfin acquis son indépendance après plus de 50 ans de domination. L'Égypte vient de montrer la porte au “Raïs”. La Somalie baigne dans le chaos. L'Éthiopie est en pleine mutation et planifie de phagocyter tous les faibles de la région. Melès Zenawi, le nouveau Négus d'Addis veut s'erriger en gendarme pendant qu'Isaias Afewerki, son cousin de l'Érythrée sombre dans l'ivresse du totalitarisme... Le monde et notre grande région sont en ébullition. Les peuples et le monde exigent le changement! Les djiboutiens exigent le changement et refusent la «révolution de Palais».
Devant le moment historique, qu'ont-ils à dire et que compte faire ceux qui veulent être “calife à la palce du calife” IOG? Se sont-ils perdus dans leurs plans? Sont-ils épuisés par les tractations de coulisses? Nous sommes en droit de savoir!
Mais revenons à IOG, notre mangeocrate impérial. Pendant que ses idoles, ses pairs et ses disciples se débattent, lui, porte le masque de celui qui mène le bateau. Il joue le rôle du gars indispensable... Il joue la force tranquille (comme Moubarak, il y a 3 semaines et Ben Ali quelques autres semianes plus tôt). IOG joue le rôle du gars au dessus de la mêlée.
En fait, il joue le tout pour le tout. Il se cramponne au pouvoir. Il mise sur la fuite en avant. Invariable et égal à lui-même, IOG, le roi des hyènes, n'entend rien laisser derrière lui, espérant sans doute une retraite dorée dans un quelconque paradis pour ex-dicatateur en cavale!
Seulement voilà: le monde change. Le monde a changé. Personne n'est indispensable. Personne n'est inamovible. Personne, de Washington à Pékin en passant par Paris et Bruxelles, ne veut parier sur les les bourriques comme lui! On a tourné le dos au “Raïs”.
Même les Suisse veulent plus de ces milliards versés dans les comptes anonymes. les Baby-doc, les Ben-Ali et consorts de ce monde ont de nouveaux soucis! Sans verser dans la naïveté, il faut quand même voir certaines mutations, en face. Le monde change. Le monde a changé. Nos peuples sont en droit d'espérer... Que dis-je? Ils sont en droit d'exiger. Le monde a changé. Fini le temps des cachettes et les retraites dorées.
Le monde a changé!.. Plus près de nous, ici au Canada, les Trabelsi (belle-famille de Ben Ali, terreurs des terreurs en Tunisie et mangeocrates devant l'Éternel) sont arrivés, pensant s'installer dans «leur» château de Vaudreuil-Dorion, en banlieue de Montréal. Classique! Seulement voilà, les canadiens et les québécois n'en veulent plus de ce genre d'individu. Les seuls alliés de ces fugitifs sont une poignée “d'avocats” de l'industrie de l'immigration. À part ces quelques «individus verveux», il n'y a plus personne pour les entendre ou encore moins... les accueillir.
Pour illustrer ce tableau, et, à titre d'exemple, voici un reportage fait par Normand Lester, journaliste de la Station FM 98.5 (Montréal, Québec, etc.) sur le dossier des dictateurs en cavale fait le 27 janvier dernier.
On vous parlait du dernier passage du sieur Djama Haid aka “Le Beauf”. On vous parlait de ses «affaires». On vous parlait de ses buz au Canada et de ses voyages clandestins. On vous parlait des visites en catimini de nos hyènes gouvernantes, ici, au Canada...
Le Canada qui a accueilli le sorcier de O. Bongo, va-t-il accueillir nos hyènes en cavales? Il semble que nous sommes condamnés à «vivre l'histoire». Voici le reportage de Normand Lester.
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