À l'instar des peuples frères de la région, les djiboutiens et les djiboutiennes ont très clairement montré qu'il n'en veulent plus de Ismaël Omar Guelleh. Ils n'en veulent plus de la modification que ce dernier a faite à la constitution pour être candidat à sa propre succession pour un 3ème mandat illégal.
Faut-il souligner que l’ex-chef de la police politique est devenu président en 1999 à la place de son oncle et que sa famille, lui-même et son parti le RPP, sont au pouvoir depuis le jour de l’indépendance, le 27 juin 1977, c’est à dire depuis 34 ans? Faut-il rappeler que M. Guelleh entend rester encore longtemps et ne s'est pas géné pour mofifier la constitution qui l'empêchait de briguer plus de 2 mandats présidentiels, sans référendum?
Le vendredi 18 février 2011, la manifestation organisée par le regroupement de l'opposition sous la bannière de l'UAD a mobilisé plusieurs dizaines de personnes dans les rues de la capitale Djibouti. Après cette manif pacifique, les leaders de l’opposition (dont Ismsël Guédi, Mohamed Chehem) ont été arrêtés, emprisonnés et “interrogés” par la police politique du régime.
Selon les nouvelles qui nous parviennent du pays (où, comme il fallait s'y attendre, le régime de Guelleh a volontairement perturbé les réseaux de télécommunication,notamment internet et la téléphonie mobile) il y aurait eu plusieurs morts.
Le samedi 19 Février, aux alentours de -35 (température ressentie) les djiboutiennes et les djiboutiens d'Ottawa se sont mobilisés, eux aussi, pour soutenir la volonté de changement exprimée par leurs frères et sœurs vivant sous la dictature de Guelleh, en République de Djibouti. Une fois de plus, ils sont allés se faire entendre par les autorités et les citoyens de leur pays d'adoption: le Canada.
Cette fois, ils n'étaient plus seuls. Ils ont joint leur force à celles des libyens qui veulent en découdre avec le colonel Kadafi et bahreïnis qui n'en veulent plus de leur monarchie. Plusieurs médias étaient là dont Radio Canada / RDI. Voici le reportage de Mylène Crète sur cet évènement.
Faut-il souligner que l’ex-chef de la police politique est devenu président en 1999 à la place de son oncle et que sa famille, lui-même et son parti le RPP, sont au pouvoir depuis le jour de l’indépendance, le 27 juin 1977, c’est à dire depuis 34 ans? Faut-il rappeler que M. Guelleh entend rester encore longtemps et ne s'est pas géné pour mofifier la constitution qui l'empêchait de briguer plus de 2 mandats présidentiels, sans référendum?
Le vendredi 18 février 2011, la manifestation organisée par le regroupement de l'opposition sous la bannière de l'UAD a mobilisé plusieurs dizaines de personnes dans les rues de la capitale Djibouti. Après cette manif pacifique, les leaders de l’opposition (dont Ismsël Guédi, Mohamed Chehem) ont été arrêtés, emprisonnés et “interrogés” par la police politique du régime.
Selon les nouvelles qui nous parviennent du pays (où, comme il fallait s'y attendre, le régime de Guelleh a volontairement perturbé les réseaux de télécommunication,notamment internet et la téléphonie mobile) il y aurait eu plusieurs morts.
Le samedi 19 Février, aux alentours de -35 (température ressentie) les djiboutiennes et les djiboutiens d'Ottawa se sont mobilisés, eux aussi, pour soutenir la volonté de changement exprimée par leurs frères et sœurs vivant sous la dictature de Guelleh, en République de Djibouti. Une fois de plus, ils sont allés se faire entendre par les autorités et les citoyens de leur pays d'adoption: le Canada.
Cette fois, ils n'étaient plus seuls. Ils ont joint leur force à celles des libyens qui veulent en découdre avec le colonel Kadafi et bahreïnis qui n'en veulent plus de leur monarchie. Plusieurs médias étaient là dont Radio Canada / RDI. Voici le reportage de Mylène Crète sur cet évènement.
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