Les réactions et la levée de bouclier contre la croisade iogéenne dans la région de Zeilah sont loin de s'estomper même si les milices Interhamwe du régime viennent d'effectuer un repli (sans doute stratégique) en territoire djiboutien. Le document que je vous présente aujourd'hui m'a été envoyé par une personne qui m'a demandé ''de bien vouloir publier ce petit article ci-joint dans le respect de la pluralité des opinions''. Je vais donc simplement vous présenter cet article signé ''Waris S – fonctionnaire'' in extenso. Bonne lecture.
La tentative de la conquête territoriale par IOG en terre de Gadabourci.
Les grands idéaux du rêve Ismail Omar Guelleh au-delà du fantasme de la ville de Zeila et des cliches auxquels les Issas sont souvent réduits, xeer Issa (le code pénal Issa), Ougas, certains comportements collectifs et la peur des autres ce qui assurent leurs l’unité. Le dictateur Djiboutien a une volonté de dominer les autres et de se sentir supérieur, une grandeur affiché, un luxe assumé sans complexe. Avec le temps, l’espace national devient petit pour son gloire. Il est convaincu, tôt ou tard, que la somalie sera dénombré aux plusieurs zones d’affluence. Par conséquent, il trouve normale d’avoir sa part de gâteaux, beaucoup Djiboutiens de tous bords partagent ces rêves avec lui. En premiers lieu la communauté de Gadabourci, mais la manière et le moyen pour l'obtenir sont différent. Le dictateur, veut une partie de ce territoire avec très peu de population. Pour cela, il essaye de jouer la différence sensibilité entre les clans Gadabourcis, apparemment ça marché bien jusqu’à présent, mais les hommes politique ont changé la façon de fonctionner - C'est une nouvelle situation pour lui, qui exige beaucoup d'énergies et nouvelle imagination. Le dictateur, n'a pas de possibilité d'interférer cette fois-ci dans les affaires internes. Pour arriver son fin, il veut constituer une zone de tampon entre Djibouti-Somaliland. Quotidiennement, il dépense une somme d’argent pharaonique afin de finaliser son projet. Créer une usine de coca cola à Hargeisa, tout en accordant une attention particulière d’une communauté nationale, plusieurs centaines Somalilandais sont salariées de l'Etat Djiboutien, y compris les syndicalistes de Borama et Gabiley (Sultans, religieux, politiciens et militaires) ce sont des agents locaux, mais vraiment efficaces. Les syndicalistes d’Hargeisa comptent plus de cent fois. Mr.Ali Warabe, le président du parti UCID a eu courage de dénoncer, les interférences des affaires internes.
Pour lui l’exemplaire à suivre c’est l’Etat Hébreu, avec un système d'apartheid poussé à l'extrême. Une ligne politique tolérée par les occidentaux et les monarchies du golfe au détriment de la population palestinienne. Chassé la population locale de ses terres ancestrales et peu à peu, occupe le territoire Gadabourci, en premier lieu, militairement et après médiatiquement. Nous connaissons, les pratiques autoritaires de la colonisation, utilisé une population pauvre, docile, autochtone et une population originaire du pays colonisateur, dans le cas présent «Djiboutienne et Ethiopienne - Issa» garantissant le rôle de maîtres d'œuvre pour concrétiser la conquête du pays dans un court terme. Le moment du dénombrement éventuel, il veut sous mettre devant les puissances régionales (Ethiopie et Kenyan) et la communauté Internationale l'effet accomplie. Alors que les conseillés IOG portent un regard très sévère sur la cohésion de la société Gadabourci, qui apparaît faible militairement, économiquement et sans alliés dans la région à leurs yeux. Ils ont vraiment convaincu que tout seul, sans soutien, ce peuple ne s'en défendra pas. A partir de ce comportement ignoble, simpliste et dangereux, qui a conduits à sa perte cuisante, lors de sa tentative avortée. Pour conquérir un territoire adverse, il ne suffit pas d’envoyer plusieurs dizaines de milliers Djiboutiens et Ethiopiens pour quelques jours de noël, le Père Noël n'a pas eu d'autre choix que d'aller picoler avec Mousse Bixi chez lui à Hargeisa. C'est un mythomane qui veut se mettre en valeur coûte que coûte, il est l'intérêt de Djiboutien(ne)s de pousser dehors ce dictateur dangereux pour tous les segments de la société Djiboutienne.
Waris S – fonctionnaire.
La tentative de la conquête territoriale par IOG en terre de Gadabourci.
Les grands idéaux du rêve Ismail Omar Guelleh au-delà du fantasme de la ville de Zeila et des cliches auxquels les Issas sont souvent réduits, xeer Issa (le code pénal Issa), Ougas, certains comportements collectifs et la peur des autres ce qui assurent leurs l’unité. Le dictateur Djiboutien a une volonté de dominer les autres et de se sentir supérieur, une grandeur affiché, un luxe assumé sans complexe. Avec le temps, l’espace national devient petit pour son gloire. Il est convaincu, tôt ou tard, que la somalie sera dénombré aux plusieurs zones d’affluence. Par conséquent, il trouve normale d’avoir sa part de gâteaux, beaucoup Djiboutiens de tous bords partagent ces rêves avec lui. En premiers lieu la communauté de Gadabourci, mais la manière et le moyen pour l'obtenir sont différent. Le dictateur, veut une partie de ce territoire avec très peu de population. Pour cela, il essaye de jouer la différence sensibilité entre les clans Gadabourcis, apparemment ça marché bien jusqu’à présent, mais les hommes politique ont changé la façon de fonctionner - C'est une nouvelle situation pour lui, qui exige beaucoup d'énergies et nouvelle imagination. Le dictateur, n'a pas de possibilité d'interférer cette fois-ci dans les affaires internes. Pour arriver son fin, il veut constituer une zone de tampon entre Djibouti-Somaliland. Quotidiennement, il dépense une somme d’argent pharaonique afin de finaliser son projet. Créer une usine de coca cola à Hargeisa, tout en accordant une attention particulière d’une communauté nationale, plusieurs centaines Somalilandais sont salariées de l'Etat Djiboutien, y compris les syndicalistes de Borama et Gabiley (Sultans, religieux, politiciens et militaires) ce sont des agents locaux, mais vraiment efficaces. Les syndicalistes d’Hargeisa comptent plus de cent fois. Mr.Ali Warabe, le président du parti UCID a eu courage de dénoncer, les interférences des affaires internes.
Pour lui l’exemplaire à suivre c’est l’Etat Hébreu, avec un système d'apartheid poussé à l'extrême. Une ligne politique tolérée par les occidentaux et les monarchies du golfe au détriment de la population palestinienne. Chassé la population locale de ses terres ancestrales et peu à peu, occupe le territoire Gadabourci, en premier lieu, militairement et après médiatiquement. Nous connaissons, les pratiques autoritaires de la colonisation, utilisé une population pauvre, docile, autochtone et une population originaire du pays colonisateur, dans le cas présent «Djiboutienne et Ethiopienne - Issa» garantissant le rôle de maîtres d'œuvre pour concrétiser la conquête du pays dans un court terme. Le moment du dénombrement éventuel, il veut sous mettre devant les puissances régionales (Ethiopie et Kenyan) et la communauté Internationale l'effet accomplie. Alors que les conseillés IOG portent un regard très sévère sur la cohésion de la société Gadabourci, qui apparaît faible militairement, économiquement et sans alliés dans la région à leurs yeux. Ils ont vraiment convaincu que tout seul, sans soutien, ce peuple ne s'en défendra pas. A partir de ce comportement ignoble, simpliste et dangereux, qui a conduits à sa perte cuisante, lors de sa tentative avortée. Pour conquérir un territoire adverse, il ne suffit pas d’envoyer plusieurs dizaines de milliers Djiboutiens et Ethiopiens pour quelques jours de noël, le Père Noël n'a pas eu d'autre choix que d'aller picoler avec Mousse Bixi chez lui à Hargeisa. C'est un mythomane qui veut se mettre en valeur coûte que coûte, il est l'intérêt de Djiboutien(ne)s de pousser dehors ce dictateur dangereux pour tous les segments de la société Djiboutienne.
Waris S – fonctionnaire.
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