Le dictateur djiboutien dans ses oeuvres |
Selon plusieurs courriels et appels téléphoniques concordants en provenance de la capitale Djibouti, les rafles et les disparitions de gadabourci (surtout de jeunes hommes) s'accentuent. Centre-ville, Avenue 26, Balbala, Ambouli, tous les secteurs de la ville sont touchés. Les services secrets et les forces de l'ordre s'en prennent également aux commerçants et aux hauts fonctionnaires à tel enseigne que l'un de mes correspondants écrit que l'on craint ''le spectre des années 90''.
Il est extrêmement difficile d'avoir des informations détaillées et fiables ces jours-ci car l'internet et le système téléphoniques sont étroitement surveillés. Mais, le peu de nouvelles qui nous viennent concordent sur un certains nombre de points. Ces points de convergence vous seront rapportés au fur et à mesure...
Depuis le début de l'affaire Zeilah, du côté des commerçants ciblés par le système, on signale la fermeture de la garderie privée ''Montréal Maternelle'' appartenant à Aïcha Youssouf Djama. Tous ses permis d'exploitation et son dossier au niveau des taxes étaient à jour. Mais, les ordres seraient venus de la présidence, selon des fonctionnaires ayant requis l’anonymat. À la guerre comme à la guerre. Contre certaines composantes de sa propre population civile, le dictateur ne lésine pas sur les moyens. Il s'en prend leur gagne-pain simplement pour les étouffer économiquement et.. les forcer à quitter le pays (avant les élections). Du pur style IOG!
Du côté des hauts fonctionnaires ciblés, la dernière victime de cette guerre du régime contre les gadabourci est M. Idriss Ali Souldan, directeur de la DISED (Direction de la Statistique et des Études Démographiques) qui vient de perdre son poste sans aucune explication. Cet ingénieur statisticien d'expérience (+ de 20 ans) est un proche cousin de M. Mohamed Ahmed Awaleh, Ministre de l’Agriculture, de l’Élevage et la Pêche, Chargé des Ressources Halieutiques (du côté paternel). Idriss est également proche oncle maternel du président Ismaël Omar Guelleh. On peut donc dire que le cas de ce haut fonctionnaire présente bien la situation que vivent les gadabourci, cette composante historique de la communauté djiboutienne (Djama Zeili'i, Hadji Dideh, etc. appartenaient à ce clan): même le fait d'être hautement diplômé, d'être un carriériste d'expérience et/ou d'avoir des relations familiales très étroites avec les dignitaires du régime ne présente aucune garantie quand on est né de père gadabourci! Comment faut-il appeler ça? L'apartheid? Pas moins!
Sur tous les fronts, la politique de la terre brûlée se poursuit. Ismaël Omar Guelleh (aka le Roi des hyènes) joue le tout pour le tout. Nous suivront les développement de cette affaire même si les sources d'informations en provenance de Djibouti sont très difficiles à obtenir ces jours-ci.
À suivre...
Hassan Aden
hassan.aden@ncf.ca
Normal que ce fils de sa mère GADABOURCI recidive son action puisque personne ne lui a fait payer l'affaire du CAFE DE PARIS ou il a tué et handicapé ses oncles et ses tantes(Les frères et soeurs de sa propre mère)!!!.
RépondreEffacerComment peut-on qualifié une telle personne? Batarde? je pense que le mot est trop faible!!!
Sinon pour finir, je me dis "CISSE SALAC KA SEEXAN WAYEH? ALLOW MAHAY NOQON BARI MARKA DJIBOUTI LAGA WAREJIYO".
Pour moi avec IOG, les ISSAS seront les vrais perdants que cela soit au Somaliland, en Somalie ou en Ethiopie.
Dommage qu'il n'y ai pas UN SEUL ISSA pour arêter ce fou. Ils le suivent les yeux fermés. Ok je veux bien comprendre pour l'agent detourné du peuple de Djibouti mais de là à risquer de tout perdre..... comme même.
Il faut sauver les ISSAS de ce diable de Satan.
Tu es le seul djib qui dis la verite au sort des gadaboursi ou sont les autres? Certainement lecher le cul des issas au cafe rideau ils on peur que les issas leur traite de tribaliste
RépondreEffacerwai ce bien personne en parle les genocides des samarones ds les annees 90 mm o tv kw kil ont soi mai insha allah sa ira les vengeances viendra un jrs.
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